vendredi 9 novembre 2012

Décidément

Éléonore au lancement du livre
Mon père n'est pas à vendre ni à louer, Éditions de la Paix
On dirait que c'est la semaine de la littérature jeunesse! Hier, à Berthierville (oui, oui) avait lieu le lancement du livre Mon père n'est pas à vendre ni à louer, de Maryse Robillard. Maryse en est à son troisième roman jeunesse; elle est aussi enseignante, une enseignante que tous ses élèves aiment. Éléonore a eu la chance d'être dans sa classe en 2e année.

Maryse nous a invitées au lancement et a demandé à Éléonore de lire le résumé de son livre. Au départ, Éléo ne voulait pas se prêter au jeu, trop gênée. Éléo, que je lui ai dit, quand on nous demande des choses, c'est qu'on sait que nous pouvons les faire. Il faut se lancer. Il faut enlever nos pantoufles... Bon, c'est à moi que je parlais aussi! Mais elle s'est lancée, la preuve sur la mauvaise photo que j'ai prise. J'étais trop occupée à l'écouter lire.

J'ai terminé ma soirée en écoutant Voir Naples et mourir. On y parle de Naples au XVIIIe siècle et de ses castras. Naples me fascine, me terrifie et m'attire. Je n'y ai jamais mis les pieds. Pour visiter Naples, il faut faire fi je crois des enfants de Naples qui délaissent l'école pour un travail qui ne rapporte rien ou presque, des poubelles et des blattes et de la camorra. J'avoue, ça fait beaucoup. Cela dit, Dominique Fernandez, que l'on entend dans l'émission, me convainc que Naples vaut l'effort. Il y est aussi question des castras, sujet mystérieux s'il en est un. Et vous entendrez le contre-ténor Philippe Jaroussky. C'est l'émission parfaite à écouter près d'un feu de foyer, ou bien calé dans son lit, ou sur le sofa, un jeté sur les épaules. La pluie ou la neige pourraient tomber, ce ne serait pas bien grave. Ah oui, un gâteau ou un bon plat pourrait cuire au four pendant ce temps. Avec un peu de chance, si vous fermez les yeux, vous verrez la baie de Naples.

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