Rassurez-vous

Non, non, je ne mange pas de macro, ni mon amie Diep n'en cuisine dans son tajine. L'ingrédient dont il est question ici est bien le maquereau et non le macro. Merci à Julie qui a relevé cette erreur qui portait à confusion et qui aurait pu nous causer préjudice à Diep et à moi!

Autre fournée

Éléo a passé une partie de son dimanche après-midi à préparer ces petits cupcakes: recherche de la recette du gâteau, recherche de la recette du glaçage, préparation des ingrédients, espace de travail tenu propre (mon espace de travail doit être désencombré m'a-t-elle dit alors que je laissais un peu traîner...). Comme vous voyez, elle y met du coeur! Sa fierté je crois est d'en offrir un à son papa. Et oui, c'est lundi. Bonne semaine!

Crédit photo: © Éléonore Bergeron-Brouillard

Nez en l'air

Hier, en sortant, je me suis rendu compte que la neige était juste à point pour faire un bonhomme! J'ai dit, allez Éléonore vient faire un bonhomme! Non, non, je dois pelleter me dit-elle. Mais pas question de pelleter quand on peut faire un bonhomme de neige! On a donc abandonné MA à la tâche, et nous avons roulé notre bonhomme. Son foulard me suit depuis que j'ai 5 ans. J'ai bien dû le faire porter à tous les bonhommes que j'ai faits! Ses yeux sont des boutons et sa bouche des macaroni. Éléo lui avait prêté sa tuque pour les besoins de la photo.

Je n'avais pas parlé de ce film coréen, Poetry, l'histoire d'une grand-maman touchante, bonne, belle, sensible et forte. Éléo l'a regardé, en coréen - avec sous-titres évidemment, notre coréen n'est pas tout à fait au point, mais ça viendra - c'est tout dire.

Hier soir, on a décidé que nous allions faire comme si tous les films n'étaient pas traduits. Nous les regarderons dans leur langue d'origine avec sous-titres. Hier, c'était un film en italien. Dieu que c'est beau! MA a dit à Éléo (Marguerite n'était pas là) que si elle voulait suivre des cours d'italien, il serait prêt à la conduire à Montréal chaque semaine... Mais bon, faut d'abord qu'elle maîtrise le coréen ;-)

L'hiver qui revient

Comme ils sont beaux nos arbres ce matin! Cette fin de semaine, nous avons garder le programme le plus simple possible, histoire de nous occuper des tâches qui traînent dans la maison. Mais quand même, avec toute cette neige, une séance de pelletage familial est prévu. On trépigne tous de joie à cette idée (entendez l'ironie). Nous n'avons pas le choix de déterrer l'auto si on veut amener Marguerite chez son amie à Joliette. Voyez, rien de renversant.

Si j'ai du temps, je vais commencer mon livre acheté la semaine dernière. Marguerite a déjà terminé le sien. À cause de ce livre, on ne l'a pas vue de la semaine. Elle profitait du moindre moment de liberté pour s'y plonger. Elle l'a terminé hier soir, en pleurant. J'étais tellement contente qu'elle soit touchée par une histoire! Je ne vous parle pas du livre d'Éléo, car elle, ce qu'elle a choisi, c'est ça! Weird, I know.

Sinon, on a passé notre petit vendredi soir devant un film de Gus Van Sant, Restless, que MA avait choisi pour les filles. Enfin, un film qui raconte l'histoire intelligente et touchante de deux adolescents. Donc, exit les pétasses, la musique américaine d'ados qui donne mal au coeur, le vide intellectuel, l'appel à la consommation. Rien de tout cela ici. Ha!! Ça fait du bien de juste regarder un film sans passer notre temps à éveiller l'esprit critique des filles.

Samedi dernier, nous étions chez nos amis Jules, Diep, Antoine et Éloi. Nous y avons mangé un délicieux tajine de maquereau. Je n'avais jamais mangé de maquereau à ce jour. C'était une heureuse découverte! Ce poisson se marie hyper bien à la coriandre. Il me semble que le tajine est parfait pour un samedi enneigé.

Sur ce, je vous laisse pour aller pelleter. Bon samedi!

Envie d'y retourner

Pour aller y patiner!
Bon samedi presque printanier.

Jacinthes sur fond de cactus

Jacinthes achetées par moi pour moi dimanche en faisant l'épicerie. Ces petites fleurs blanches viennent décorer mon nouveau coin bureau. En arrière plan, le cactus, fils des grands cactus que l'on voit sur la photo plus bas, chez Bruno et Michèle.

MA est au violon avec Éléo. Je suis restée à la maison avec Marguerite pour lui expliquer les subordonnées. Après, il sera un peu tard, mais on mangera quand même une petite fondue au chocolat pour souligner la St-Valentin.

Allez, je vais boire un thé avec Marguerite et lever le mystère sur ces terribles subordonnées.

Crédit photo: © Éléonore Bergeron-Brouillard

Coup de coeur

Un coup de foudre vient de me frapper. Est-ce possible de tomber amoureux d'une table et d'un banc? Schoolhouse electric. J'aime tout d'eux: leur service à la clientèle, leurs produits, leurs valeurs. C'est finalement là que j'ai trouvé le luminaire de ma salle de bain brisé par des livreurs.

Bulles et chocolat

Hier, nous avons bravé le froid pour faire une petite escapade à Montréal. Nous étions conviés à un très chaleureux et sympathique après-midi "Bulles et chocolat" chez nos amis Bruno et Michèle. Les bulles et le chocolat avaient été choisis par Bruno pour souligner l'anniversaire de Michèle. Quelle belle idée, n'est-ce pas? Concept à retenir.

Éléonore nous avait accompagnés, mais Marguerite avait décidé d'aller rendre visite à Éloi et Antoine. Selon Antoine, Marguerite a été très très gentille. Nous avons terminé notre escapade devant un bon café au lait, chez Jules et Diep, Antoine assis sur mes genoux.

J'aime tellement ces journées faites de rencontres, d'échanges et de bonnes choses. On a fini la journée collés sur le canapé, devant un film, une bouteille de vin et le feu du foyer. Éléonore s'est endormie dans le petit nid qu'elle s'était fait sur la moquette.

Maintenant c'est dimanche et son sempiternel blues qu'il traîne avec lui - j'aimerais tant aimer les lundis. Marguerite a cuisiné un délicieux gâteau aux carottes avec deux de ses amies. Elle vient de terminer sa pâte à crêpes pour son déjeuner de demain. Bientôt, elle fera nos soupers. Je rêve, là.

Bonne semaine.

Crédit photo: © Bruno Boutot

Le temps qui passe

Je dois me faire à l'idée: je n'ai plus de bébé. Marguerite porte maintenant mes jeans, mon manteau d'hiver, ma ceinture. Aujourd'hui, de dois, ma mère nous confondait (de dos, j'ai dit). Chaque fois que je la prends dans mes bras: je lui dis, tu es mon petit bébé.

Elle grandit bien: sérieuse dans ses études, pas d'alcool, pas de party (encore), elle aime être en famille et prend soin de sa grand-mère et de son grand-père. Ces temps-ci, merci la vie, c'est le calme plat entre nous. Elle rit même de mes blagues. Je l'aime. Et elle est si belle.