Une fois le sapin dans son pied, les filles et moi déballons les boules une à une. Chaque boule a son histoire, la nôtre: celle-là vient de Mirjam aux Pays-Bas, celle là de Marie-Claude en Pologne, celle-là de grand-mère, qui offre chaque année des boules aux filles. Immanquablement, on envoie MA acheter d'autres lumières, car on pense qu'il en manquera. Éléonore et moi installons les lumières en tournant autour de l'arbre. On vérifie qu'elles sont bien dispersées sur le sapin en plissant des yeux. Essayez ce truc qui me vient d'Anne-Sophie, une amie de Marguerite, qui lui vient de sa grand-mère. Il y a toujours un invité quand on fait le sapin, jamais la même personne: Mirka est venue, Anne-Sophie, Marie-Claude de Pologne, ma mère. Cette année, c'était Angélique, ma nièce, qui était avec nous. Le point culminant, c'est quand on coiffe le sapin de son étoile. La même discussion revient entre les filles, les voix s'élèvent: c'est à qui le tour? Cette année, c'était à Marguerite de monter dans l'escabeau pour installer l'étoile. Oups, après rappel des événements de l'an dernier, on a réalisé que c'était le tour d'Éléo!
Enfin, Éléonore installe la crèche "gossée" par mon frère et décorée par les personnages de mon enfance. Le "petit Jésus" est recouvert de ouate parce qu'il n'est pas encore né! Le 25, on le découvrira.
Ce jour-là, j'ai terminé ma journée en cuisinant un gâteau aux bananes. C'était trop doudou comme journée.
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