samedi 17 décembre 2011

Vers Noël

J'avoue, c'est une très mauvaise photo prise avec mon cellulaire. J'avais la paresse de sortir l'artillerie lourde. La journée de dimanche dernier a été occupée à décorer le sapin. Je pense bien que c'est le moment que je préfère de la période de Noël. Chaque année apporte les mêmes événements, ou non événements: achat du sapin, discussion sur sa grosseur: moi, je ne le trouve jamais assez gros, MA le trouve toujours trop gros (pour être franche, cette année cette discussion n'a pas eu lieu, car je suis allée choisir le sapin avec mon frère. Tout de suite, Louis a mis la main sur le plus gros. Allez hop dans la boîte du camion et livraison sur le perron.) Une fois encore, MA s'est acharné sur le tronc du sapin pour le faire entrer dans son pied (c'est pour cette raison qu'il chipote chaque année sur la taille du sapin. Il n'aime pas scier le pied: il n'a pas l'âme d'un bûcheron... ni les outils.)

Une fois le sapin dans son pied, les filles et moi déballons les boules une à une. Chaque boule a son histoire, la nôtre: celle-là vient de Mirjam aux Pays-Bas, celle là de Marie-Claude en Pologne, celle-là de grand-mère, qui offre chaque année des boules aux filles. Immanquablement, on envoie MA acheter d'autres lumières, car on pense qu'il en manquera. Éléonore et moi installons les lumières en tournant autour de l'arbre. On vérifie qu'elles sont bien dispersées sur le sapin en plissant des yeux. Essayez ce truc qui me vient d'Anne-Sophie, une amie de Marguerite, qui lui vient de sa grand-mère. Il y a toujours un invité quand on fait le sapin, jamais la même personne: Mirka est venue, Anne-Sophie, Marie-Claude de Pologne, ma mère. Cette année, c'était Angélique, ma nièce, qui était avec nous. Le point culminant, c'est quand on coiffe le sapin de son étoile. La même discussion revient entre les filles, les voix s'élèvent: c'est à qui le tour? Cette année, c'était à Marguerite de monter dans l'escabeau pour installer l'étoile. Oups, après rappel des événements de l'an dernier, on a réalisé que c'était le tour d'Éléo!

Enfin, Éléonore installe la crèche "gossée" par mon frère et décorée par les personnages de mon enfance. Le "petit Jésus" est recouvert de ouate parce qu'il n'est pas encore né! Le 25, on le découvrira.


Ce jour-là, j'ai terminé ma journée en cuisinant un gâteau aux bananes. C'était trop doudou comme journée.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire