À la suggestion des propriétaires de la maison, nous sommes
allés visiter le marché de Nay, petit village à quelques kilomètres seulement
de la maison que nous habitons.
Avec Dirk et Mirjam, on s’entasse tous dans notre auto, car il manque un pneu à leur auto. Au
marché, on se donne rendez-vous au café de la place un peu plus tard. Chacun a
ses choses à acheter pour le couscous de ce soir. De notre côté, on achète des samosas
et du riz indien pour notre repas du midi. Tout était préparé sur place et très
frais. Si on avait voulu, on aurait pu faire affûter nos couteaux, acheter des
vêtements, garnir notre discothèque de
cassettes des années 80, acheter des
fleurs pour nos plates-bandes et des poules vivantes que nous aurions peut-être
pu ajouter à notre couscous!
Au café de la place, nous avons pris un café pendant que les
filles bouquinaient à la librairie d’à côté.
Nous sommes entrés manger à la maison. Ensuite, nous avons
lézardé – avec les lézards – sur les chaises longues de la cours. Le ciel était
dégagé. Les Pyrénées libres de tout nuage. Les neiges éternelles visibles.
À 14 heures, nous avons mis cap vers Pau. En route, nous
avons déposé Mirjam et Dirk chez le garagiste, qui leur a prêté une Mégane
disons… sympathique dans l’attente de leur pneu! Vers la fin de l’après-midi,
nous avons retrouvé Majorie à la gare de Pau et nous sommes entrés préparer
notre coucous.
MA a fait grillé les merguez et le poulet sur fond dePyrénées. Il était heureux je crois.
Le soir, nous avons mangé dehors avec Mirjam, Dirk et
Majorie. Le couscous avait un goût de vacances, de bien-être et d’amitié. Un
goût à jamais rattaché à cet instant.
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