Voyez sur la photo combien l'eau est haute. C'est le fleuve qui s'étend jusqu'à la route. On a pu voir des outardes s'envoler juste au-dessus de nos têtes, des grands hérons attendre patiemment que leur repas se présente sous leurs yeux, tout plein de carouges à épaulettes et tout un tas d'autres oiseaux attirés par cette flore humide. Il aurait fallu que l'on ait notre livre d'ornithologie avec nous...
lundi 9 mai 2011
À vélo près de l'eau
Hier, pour la fête des mères, nous sommes allés à St-Ignace. M-A, Éléonore et moi sommes allés faire un petit tour de vélo pendant que Marguerite se reposait de son voyage avec sa grand-mère et son grand-père. Évidemment, c'est sous un ciel gris que nous nous sommes promenés. La météo ne m'intéresse que fort peu à la radio ou à la télé mais, dans ma vie quotidienne, je suis étonnée de constater à quel point nous vivons dans un pays gris et froid. Je m'interroge, comme ma collègue K., à savoir pourquoi, un jour, un de mes ancêtres a décidé de quitter la France pour venir s'installer ici et, ainsi, me condamner à vivre dans le gris et le froid. Je lui en veux beaucoup.
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