Je sais bien que ce livre est paru depuis longtemps. Je sais aussi que j'aurais dû le lire bien avant. Hier soir, je l'ai quitté à regret et un brin jalouse de la vie de Guy Delisle. J'aurais vraiment dû me préparer une carrière qui m'aurait permis de m'expatrier. J'ai presque envie de me chercher du travail dans une ONG. En me voyant lire ce livre et en être complètement fascinée, Éléo a eu peur que je parte en Israël. Le conflit israélo-palestinien, trop peu pour elle. Cet été, elle craignait l'Espagne à cause de la crise qui y sévissait, c'est tout dire.
Après avoir fermé le livre, je suis allée glander sur le site et le blog de l'auteur, j'y retournerai. Et puis, je me plongerai dans ses autres BD, qui m'attendent dans notre bibliothèque. Accro je vous dis.
J'ai pensé à Mirjam et à ma petite Marie de Pologne en lisant ce livre.
Je pense l'avoir lu au moins deux fois cet été. La première en toute vitesse pour lire toute l'histoire. La deuxième pour bien prendre le temps de regarder tout autour de lui, de comprendre ce qu'il y avait à comprendre. J'ai adoré son humour et sa simplicité. Je veux lire ces autres livres...
RépondreSupprimerDommage, il ne voyage plus. Les enfants devenus trop grands, selon eux, pour s'expatrier à tous les ans.
C'est vrai, il ne voyage plus? Je ne savais pas! J'ai terminé Shenzhen et Chroniques birmanes en croyant faussement que l'on avait Pyong Yang. Quelle ne fut pas ma déception quand je me suis rendu compte que l'on avait offert Pyong Yang en cadeau à une amie il y a quelque temps, mais que nous on ne l'avait pas! Bouhou hou!
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