jeudi 13 octobre 2011
Je cours, tu cours, elle court
Depuis le printemps dernier, chaque jour ou presque, É. (et vlan pour une deuxième initiale) m'écrit sur Skype: je vais courir. Et moi je réponds OK. Depuis le printemps (en fait depuis plus longtemps), je sentais que je devais m'y mettre aussi. Et puis, une autre É. me vantait les bienfaits de la course. Mais je ne bougeais pas, me contentant d'admirer en silence celles qui couraient et me disant que je n'avais pas une minute à moi. Et puis É. m'a eue à l'usure. La semaine dernière, je lui ai redemandé son programme de course et je m'y suis mise. Au début, au bout de 2 minutes de course, je n'en pouvais plus. Et puis Zzzzz: c'est ennuyeux courir, je n'aime pas du tout. Et puis hier, bingo, j'ai fait 7 minutes de course consécutives et 10 minutes alternées avec de la marche. L'amélioration de mon cardiovasculaire est très rapide, et puis, ça m'ennuie moins. J'ai aussi remarqué que j'étais pas mal moins fatiguée. Le soir, je peux accomplir d'autres projets: comme peindre et tirer des joints (oui, oui, vous avez bien lu: je tire des joints! Détails à venir plus tard). Fait cocasse: les filles voient leur mère tirer des joints et leur père faire le repas. L'homme de leur vie est mieux d'être moderne!
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