Ce midi, je sors et je remarque un trou entre mon short et mon jeans: le chandail a disparu! L'épingle a été lancée par terre. Oui, quelqu'un est venu voler mon chandail! Probablement que le jeans et les short étaient trop petits. Dieu merci!
Plusieurs personnes croient, à tort, que nous sommes venus chercher la paix à la campagne. Pourtant, c'est ici que:
- on m'a volé mes citrouilles
- on a fait des traces de démarrage sur le terrain
- on a volé la bombonne du bbq
- on a fait pipi sur le terrain, devant la fenêtre de mon bureau
- on a renversé le contenu du gros bac de recyclage sur le terrain
- on a vidé le contenu de notre auto
- on vient jeter des crottes de chien dans notre poubelle
Rien de bien grave, j'en conviens, mais, ironiquement, durant mes 18 ans de vie à Montréal, il ne m'est jamais rien arrivé de tel!
Hum... est-ce que le problème est la campagne ou TA campagne (pour ne pas la nommer)?!
RépondreSupprimerJe vois du positif dans ton message. Les gens de ton coin semblent avoir une certaine fierté: ils ne font pas pipi dans la rue, ne se promènent pas nus, ne laissent pas les crottes de chien sur le trottoir...
Mmm j'ai presque envie d'être d'accord avec toi ;-) J'aimerais bien que tu m'expliques la citrouille, le bac de recyclage, la bombonne. Défi. Je suis curieuse.
RépondreSupprimerJ'ai une expérience différente...
RépondreSupprimerÀ Montréal (j'y ai passé 27 ans mais ne parlons que des 5 années avant le déménagement...) on m'a volé concombres et haricots directement dans ma cour clôturée, on a saccagé mon jardin communautaire (pas juste le mien), on a fracassé une fenêtre de ma voiture pour en vider le contenu, on m'a perte-totalisée une voiture stationnée parfaitement légalement, on a menacé mon Coco de 9 ans au couteau, on lui a volé son vélo, on lui a volé les sous (5$) qu'il avait pour un cadeau pour sa petite copine pour la Saint-Valentin à coups de menaces... je continue?
Parce qu'il y avait aussi mes voisins d'en haut ET d'en bas aux prises avec des punaises de lit, des propriétaires harcelants et les voisins d'à côté qui faisaient le party - avec un équipement de son loué - jusqu'à 5h du matin (et régulièrement le dimanche jusqu'à minuit dans la ruelle), faisant tomber le plâtre dans les murs (party au sous-sol, nous au 2e!)... Ah oui! et la voisine de devant, qui engueulait les gens qui refusaient de l'aider à monter ses achats au 2e (y compris un jeune Coco qui se protégeait d'un danger potentiel chez une inconnue et moi, qui était blessée et ne pouvait pas transporter ses trucs!).
Ici (campagne, devant une route provinciale mais loin d'une grande autoroute) en un peu plus de deux ans, j'ai eu un gros bac de recyclage envoyé par un camion dans le ravin (si jamais ça a réveillé un chauffard, ça lui a sauvé la vie) et quelques déchets lancés sur le terrain/dans le fossé par des imbéciles (pas nécessairement campagnards) en voiture. Rien de volé, rien de saccagé. Le pire a été des arpenteurs-géomètres sans savoir-vivre qui n'annoncent pas leur présence (et marchent sur peu de neige à travers mes plates-bandes sans les voir -- ils auraient pu finir au fond du jardin d'eau!) et auraient mérité que mon chien ait l'air beaucoup plus méchant (un labrador qui n'aboie jamais et qui bat de la queue... ça fait pas peur!). Je... vis mieux de même! ;-)
Helene, il semble que tu aies eu ma part de désagréments urbains! J'avoue que tout cela donne envie d'aller vivre dans un cadre plus calme.
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